Sa femme est couchée depuis un moment quand André décide de se connecter sur Fessestivites. Il espère y retrouver sa Maîtresse et pouvoir discuter un peu avec elle. Dame Myre est en ligne. Elle s’amuse avec un soumis pas très coopératif. Il se connecte et lui présente ses respects avant de dire « bonsoir à tous»

Dame Myre est une Maîtresse réelle, adorable et non vénale même si elle n’a rien contre recevoir de petits cadeaux. Elle va sur ses 50 ans et s’ennuie dans son couple avec un mari très coincé. Si elle ne le domine pas et n’a plus de relation sexuelle avec lui, elle lui a toutefois imposé d’accepter qu’elle s’amuse sur internet et parfois dans la réalité avec des soumis. Il compte des rares hommes à avoir été reçu chez elle, a avoir eu le droit de faire son ménage nu sous haute surveillance et une recherche de la perfection. Il faut savoir que la cravache de cette dominatrice est un de ses outils pédagogiques préférés.

Au bout d’un moment, Dame Myre s’énerve après le soumis et lui indique qu’il est sans intérêt pour une Maîtresse, son seul but étant de se masturber en public. Et là, elle ordonne à André d’allumer sa cam s’il le peut pour donner l’exemple de l’attitude d’un vrai soumis. Fier de lui, il allume donc sa cam. Les ordres tombent rapidement, en bon soumis il les exécute sans la moindre hésitation.

Très en forme, Dame Myre le fait évoluer nu avec des pinces à linge sur les tétons, les testicules et la peau du gland. Elle lui demande d’aller chercher un vêtement féminin, peut importe lequel. André s’exécute aussitôt et va chercher le peignoir en soie de sa femme dans la salle de bain. Un peignoir qu’il lui a offert le soir même au restaurant pour la Saint Valentin. A son retour, il se remet devant la cam puis, sous la direction de sa Maîtresse, exécute quelques mouvements de gymnastique.

ET LA ! Et là, son épouse entre dans le salon.

André face à la cam ne la voit pas. Si elle n’aperçoit pas les pinces à linge ni l’écran de l’ordinateur, elle s’étonne de le voir quasiment nu sauter sur lui-même comme s’il faisait du sport, chose qui n’est vraiment pas son truc. Elle ne comprend pas du tout pourquoi il a enfilé le peignoir qu’il lui a offert pour la saint valentin.

• Tu fais quoi là ? Demande son épouse.

André s’arrête aussitôt de sauter. Sa gorge se serre, il a l’impression que le sol se dérobe sous ses pieds. Sa femme n’a plus du tout envie d’aller faire pipi et s’approche de lui rapidement et découvre qu’il est sur internet. Son mari se précipite sur la souris pour fermer l’écran mais Marie, son épouse repousse son bras avant qu’il ne l’atteigne. Sous ses yeux défilent les commentaires des internautes amusés devant cette situation particulièrement originale.

• Tu fais quoi là ? C’est quoi ce site ? C’est quoi ces pinces à linge ? Pourquoi tu as mis mon cadeau ?

André ne sait que répondre, ce qu’il sait c’est qu’il est mal ! Il tente de bien de lui dire que c’est un jeu suite à un pari avec des pots tout en essayant de fermer la fenêtre de l’ordinateur mais Marie l’en empêche. Elle le pousse avec la rage au coeur, avant de prendre le fauteuil pour s’asseoir devant l’ordinateur. Il ne lui faut alors que quelques secondes pour comprendre que son mari s’exhibe sous les ordres d’une femme.

André continue de s’embourber, lui jure qu’il va tout lui expliquer et la supplie d’éteindre l’ordinateur. Sa femme refuse catégoriquement. Quand il tente de lui arracher la souris des mains, Marie lui envoie une gifle, se lève folle de rage pour lui faire face avant de hurler : « va t’asseoir sur le canapé et ferme-la ou je te massacre » avant de se remettre devant le PC pour écrire sur le tchat.

• Bonsoir à tous, je suis la femme d’André et je suis ravie de faire votre connaissance. Et si vous me racontiez votre soirée pour que je puisse jouer aussi avec vous ? Poste Marie sur le Tchat.

ET LA, les internautes trop ravis d’avoir une femme de plus sur le tchat, et qui de plus, ne peut qu’être dominatrice d’après certains, se laissent aller en confidences. Ils lui disent que son mari est un bon soumis, qu’elle doit être une bonne Maîtresse, que Dame Myre le donne même en exemple.

Dame Myre, beaucoup plus fine a compris le drame qu’il se passe et ne croit pas un mot de ce que Marie raconte. Elle est restée connectée et s’inquiète pour leur vie de couple. Elle tente bien de calmer les membres connectés en privé en leur demandant de ne pas trop parler et même de couper la connexion. Hélas pour André, l’un d’eux souffre d’incontinence verbale même à l’écrit. Il raconte qu’André a beaucoup de chance d’avoir deux Maîtresses qui le reçoivent chez elles.

• Et oui, il a beaucoup de chance, mais elle lui fait quoi quand il va chez Dame Myre ? Je demande ça parce que ce coquin ne me raconte pas tout ! Poste Marie sur le tchat bien décidée à en apprendre un maximum.

DRH et parfois négociatrice dans une grande entreprise, Marie a un self-contrôle hors du commun. Elle sait maîtriser ses pulsions et jouer sur les mots pour recadrer en douceur les salariés ou les mettre en position de faiblesse. Présentement, elle fait un effort surhumain pour contrôler sa colère, sa peine, sa déception surtout quand l’abrutis du tchat lui raconte qu’il va faire le ménage chez Dame Myre en tenue de soubrette !

STOP ! N’ECRIVEZ PLUS JE VAIS VOUS RACONTER UNE HISTOIRE ! Ecrit Marie en majuscule sur le Tchat. Habitués a respecter plus ou moins, les ordres des Maîtresses, les soumis s’arrêtent un instant d’écrire sur le tchat.

• Nous sommes le 14 février, le soir de la Saint Valentin. Mon mari m’a emmenée au restaurant ce soir et m’a offert ce joli peignoir en soie. Ce que je ne savais pas, c’est que c’était aussi pour lui et qu’il aime se féminiser. Au restaurant, j’ai eu droit à une rose rouge et une déclaration d’amour. Je me croyais l’unique amour de mon mari. Je ne savais pas non plus que mon mari était soumis, il ne m’en a jamais parlé.

• Je ne suis pas l’amour de votre mari. Il n’y a jamais eu de relations sexuelles entre nous. Répond Dame Myre sur le tchat avant d’ajouter, je suis juste une Maîtresse qui s’amuse.

• Et là dite Maîtresse me conseillerait quoi là ? Demande Marie.

• De discuter avec votre mari ! Répond Dame Myre

• J’aimerai discuter avec vous avant si vous l’acceptez ? Demande Marie en contenant ses envies de passer cette Maîtresse dans le concasseur de l’usine où elle travaille.

Grâce aux explications de Dame Myre, Marie comprend comment avoir cette discussion privée sans que tout le monde suive cette discussion. Noyé dans son désespoir, André n’en peut plus, il essaye de mettre un terme à cette situation pour pouvoir parler avec sa femme. Marie lui ordonne de se taire pour ne pas aggraver son cas. Marie l’indique à Dame Myre et lui demande ce qu’elle doit faire.

• Puis-je vous téléphoner ? Demande Dame Myre

• Oui avec plaisir, je vous donne mon numéro de téléphone.

Quelques secondes plus tard, son téléphone portable sonne. En entendant sa femme dire « bonsoir Dame Myre » André mets les mains sur son visage et fond en larmes. La conversation est tendue, Marie lutte avec elle même pour ne pas laisser sa rage transpirer. Jamais au grand jamais ,elle n’aurait pensé que sa formation lui permettrait de gérer une telle situation. Dame Myre va droit au but.

• Pour commencer, je persiste et signe, il n’y a jamais eu de relations sexuelles avec votre mari. Je suis mariée et je n’ai jamais trompé mon mari. Il le sait et nous entend parler. Ici, tout est transparent.

• Vous avez bien de la chance ! Lâche Marie en contenant ses larmes.

• Si j’ai souhaité vous parler de vive voix, c’est parce que je suis convaincue que votre mari vous aime. Il est, comme beaucoup d’hommes, bien trop peureux pour vous parler de ses fantasmes et de ses envies.

• Mais pourquoi ? Demande Marie.

• Parce qu’il a peur de vous perdre tout simplement. Il a peur en se dévoilant que vous le jugiez, que vous soyez déçue et demandiez le divorce par exemple.

• Est-ce que mon mari vous paye quand il vient chez vous ?

• Cette question est très offensante, mais je vais y répondre. Non, je ne suis pas une professionnelle. Les rares soumis que je reçois me font de petits cadeaux en nature, des fleurs ou des vêtements mais c’est tout. Ce n’est pas de l’argent, c’est une façon de remercier une dominatrice tout simplement.

• Mon mari vous a offert des fleurs ?

• Oui madame, je ne vous mentirai pas, tout comme je ne vous mens pas en vous disant qu’il n’y a jamais eu de relation sexuelle entre nous. Je comprends que vous soyez aussi surprise que déçue et que vous en doutiez, mais je ne mens jamais.

• Pouvez-vous me dire ce que vous lui faites quand il vient chez vous ?

• Ce serait peut-être mieux d’en parler avec lui.

• Je n’ai plus confiance en lui, il m’a trompée. Répond Marie en se mettant à pleurer.

• Non madame, il ne vous a pas trompée au sens propre du terme même si je comprends votre tristesse et votre déception. Je vais donc vous répondre avec ma franchise habituelle.

Si Dame Myre prend la décision de dévoiler la vérité, c’est surtout pour convaincre Marie qu’il n’y a pas eu de relations sexuelles. Elle lui explique que son mari a des tendances masochistes, qu’il se complait dans la soumission et la féminisation. Quand il vient chez elle, il doit s’habiller en soubrette et faire du ménage. Elle lui indique aussi que régulièrement il est fessé à la cravache quand cela est mal fait, mais comme il est maso et un peu tête en l’air, il oublie de faire derrière les portes par exemple.

• Et là, que me conseillez-vous de faire ? Demande Marie toujours aussi peinée et désespérée.

• Prenez du recul pour commencer et discutez avec lui. C’est un bon gars que vous avez, il est adorable, respectueux et il vous aime même si vous en doutez ce soir.

La conversation terminée, Marie se tourne enfin vers son mari. Des larmes trop longtemps contenues, ruissellent sur ses joues. André n’est pas mieux, leurs coeurs sont en pièces détachées.

• Tu dors sur le canapé ce soir, je vais réfléchir à tout ça ! Mais avant, je vais mettre un mot de passe à l’ordinateur. Comme je n’ai plus confiance en toi, j’étudierai le PC demain. Je veux savoir si tu me caches d’autres choses. Lui indique Marie avant d’aller se coucher pour se relever presque de suite, rattrapée par son envie d’aller aux toilettes.

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Lorsqu’André se lève le lendemain, Marie est déjà partie travailler. Il est très en retard, il aperçoit un papier sur la table de la cuisine, alors qu’il allait partir sans déjeuner. Malgré l’urgence, il prend le temps de le lire.

Merci mon chéri de ton superbe cadeau et de cette sublime soirée pour cette Saint Valentin. Tu peux garder le peignoir. Je rentrerai tard ce soir, j’ai besoin de souffler. Puisque tu aimes faire le ménage, profite de mon absence pour faire celui de la maison. J’ai découvert dans le garage ta mâle secrète, il est inutile de la cacher ailleurs.

Marie

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Il est 21 heures lorsque Marie arrive à la maison. André a fait le ménage à défaut de surfer. Il a même préparé le dîner et mis la table qu’il a décoré avec un énorme bouquet de roses rouges. Le silence est pesant, aucun des deux n’arrivent à parler. Marie fait de petits exercices de respiration en serrant ses mains, un signe de grande souffrance et de colère qu’André aperçoit. Ses yeux se mettent à couler, il tend les mains vers sa femme, comme pour quémander une étreinte. Marie porte les mains à son visage, laminée par la déception, elle est aussi mal que lui.

• Pourquoi m’as-tu ainsi trompée pendant des années ? Demande Marie.

• Je ne t’ai jamais trompée. Je t’ai juste cachée des choses mais je ne t’ai jamais trompée et je t’aime comme un fou et comme au premier jour.

• Tu te doutes bien que je ne partage pas ton point de vue. Me cacher tout ça est pour moi comme si tu avais couché avec une autre femme.

• Je comprends ma chérie. Pardonne-moi s’il te plait ! Demande André en se mettant à genoux devant sa femme.

• Tu me jures que tu ne m’as jamais trompée ?

• Je te le jure !

• Est-ce que tu me jures de tout me dire, tout m’avouer sans rien me cacher ?

• Oui je le jure !

• Va allumer l’ordinateur, le mot de passe est 3615. Si tu veux regagner ma confiance, tu dois tout me faire voir. Tout m’expliquer et si je découvre que tu me caches quelque chose, je demande le divorce.

Même prêt à tout pour sauver leur couple, André est très mal à l’aise surtout, que sa femme maintenant prévenue, est assez fine pour sentir s’il lui cache quelque chose. Après s’être servie un whisky coca très chargé, elle s’approche de lui et lui demande de lui faire voir ses surfs intimes. Ils se retrouvent tous les deux sur les pages de Fessestivites, il lui fait voir qu’il aime lire les histoires érotiques de femmes dominatrices, surtout celles où elles obligent les hommes à se féminiser.

• Pourquoi féminiser ? Tu es gay ?

• Non, pas du tout, j’aime fantasmer sur le côté féminisation imposée. Cela m’excite tout simplement.

• Tu dois bien avoir des photos que tu gardes cachées. C’est où sur le PC ?

André n’a pas d’autres choix que de faire voir son dossier caché à la racine du disque et appelé comme l’imprimante avec juste un « s » en plus. Il sait qu’elle l’aurai trouvé un jour ou l’autre, maintenant qu’elle connaît la vérité. Les dossiers photos sont particulièrement classés, hiérarchisés par catégorie. Très gêné, il lui fait voir des photos d’hommes féminisé en soubrette ou avec un tablier de cuisine comme seul vêtement. Marie est intriguée par la rubrique chasteté, qu’il a pris grand soin d’éviter. Elle lui demande de lui faire voir ce qu’il contient.

• Cela t’amuse aussi ce genre de chose ? Demande Marie assez étonnée.

• Oui chérie mais ce n’est qu’un fantasme. Répond André.

• Ah, mais je crois en avoir vue une ce matin dans ta mâle secrète ?

• J’en ai achetée une pour voir ce que ça fait, cela est aussi amusant que gênant. Lui indique André.

• Va la chercher et met-là, j’ai envie de voir comment cela fait sur toi ! Lui ordonne Marie soudain curieuse par intérêt.

André aurait bien aimé éviter d’avoir à faire des « démonstrations », cela est terriblement gênant devant sa femme. Il se lève donc pour aller au garage, effectivement, sa mâle secrète n’est plus à sa place mais sur l’établi. Oh mon dieu songe le fautif, en se disant qu’elle sait vraiment tout de ses lubriques délires sexuels. Il passe donc la cage de chasteté avant d’aller retrouver sa femme, continuant de surfer sur les dossiers compromettants.

• Fait voir ? Demande Marie en attrapant la cage de chasteté posée sur le sexe de son mari pour étudier la chose de plus prêt.

• Je crois que je vais garder ces clés mon chéri. Nous en conviendrons, avec le cadeau très spécial que tu m’as fait pour la soirée de la Saint Valentin, tu ne peux pas faire autrement, que de me confier les clés de cet accessoire qui me rassurera sur ta fidélité ou, tes éventuelles infidélités. Lui indique Marie avec un grand sourire carnassier et chargé de reproches.

Si André ne peut refuser de lui laisser les clés, il se demande jusqu’où cette histoire va les mener.

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